Off the record

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jeudi 27 juillet 2006

Les EJB session...Stateful ou stateless?

Bean = haricot... Le stateless ne garde pas en mémoire les action sprécedemment effectuées sur lui, ainsi, il peut par exemple êter mutualisé et utilisé par plusieurs clients, on limite ainsi le mécanisme coûteux d'instanciation, l'occupation de la ram, bref une bonne affaire.
Le stateful avec un seul l, lui, garde en mémoire les actions qu'il a effectuées par le passé, une session HTTP peut être gérée avec succès par un session bean stateful par exemple. Le revers de la médaille, c'est que ce bean ne peut être partagé sauf cas spéciaux, et donc il en faut une instance par client.
Coté instanciation, en fonction du nombre de client et de leur activité, on pourra avantageusement mettre en place un mécanisme de pool...

vendredi 21 juillet 2006

Mon nom est Tsotsi

Mon nom est Tsotsi sur allociné Tsotsi, le voyou en Afrikaans vit dans un township à Johannesburg, en Afrique du Sud, dans les années 1980. C'est son quotidien et celui de sa bande, composé de la misère du ghetto, de crimes et d'une immense violence, que nous raconte ce film.
Récompenses obtenues par ce film : Oscar du meilleur film étranger en 2005

La fabuleuse aventure des EJB.

Les EJB sont des êtres vivants qui passent leur temps à se baigner dans la piscine du serveur d'application (le fameux pool d'EJB). Cette piscine peut contenir de la banquise si le serveur d'app est hébergé sur une machine Linux.
Les EJB se nourrissent de mémoire vive, dont ils sont très friands, et vivent plus ou moins longtemps :

  • les EJB session :
    • les stateless ont la vie éternelle mais ne se souviennent jamais de rien, ils sont probablement trop vieux car ils errent dans les limbes du serveur d'aplication depuis le big bang. Lors du reboot du serveur, ils meurent et renaissent tel le phoenix.
    • les statefull sont mortels mais gardent en mémoire tout ce que vous avez fait. S'il n'y a pas de piscine sur le serveur d'app, alors ils ne peuvent vivre qu'une seule fois. Sinon, ils sortent de la piscine quand on a besoin d'eux et y retournent quand on n'en a plus besoin.
      Les EJB statefull font parfois des siestes sur le disques dur si ils sont au chômage technique (via EJBPassivate et EJBActivate).
  • les EJB messages sont des facteurs avec un mauvais karma qui se sont réincarnés. Ils permettent aux EJB session d'échanger des lettres entre eux. Ils sont condamnés à vivre éternellement et à transmettre les messages sans jamais prendre leur retraite.
  • Les EJB entités sont des descendants de la famille Barbapapa, et ainsi ils vivent sous plusieurs formes. Soit en forme de données, ils sont très généreux, soit en forme d'objet quelconque, pour faire la fête (la java). Ils peuvent être soit des adultes qui se gèrent seuls (BMP Bean managed persistence), soit des enfants, ils sont alors gérés par le serveur d'app (CMP container managed persistence).

Voila voila... les vacances sont proches.

jeudi 20 juillet 2006

JBoss, pionnier du business model open source

Business model

JBoss est une application open-source, tout le monde peut ainsi connaitre le mode complet de fabrication, et également participer, corriger des bugs, ajouter de nouvelles fonctionnalités... Comme le veut la licence GPL, ce logiciel est gratuit.
Ok, mais d'ou vient l'argent???
En fait, Marc Fleury, initiateur du projet JBoss, et premier programmeur de l'équipe, a créé une entreprise nommée JBoss Group, qui fournit un support sur les applications développées sous JBoss...
Ce monsieur définit ainsi son action (sur 01.net) :

Le modèle commercial, établi pour le serveur d'applications J2EE Open Source JBoss, est simple. Le serveur est gratuit, JBoss Group se rémunère sur la maintenance des applications. « C'est une démarche qui déroute les clients habitués aux modèles classiques, mais qu'ils apprécient vite. Tout le monde y trouve son compte. La maintenance nécessite beaucoup moins d'efforts commerciaux que la vente de licences. Notre service est facturé à l'application. Plus il y a de bugs, mieux nous gagnons notre vie. Si le bug provient du serveur, l'assistance est illimitée. S'il provient de l'application, nous le facturons. Il nous est arrivé de revoir complètement un logiciel, ce qui a été facturé en conseil, avec un autre tarif, et non pas en service. » Le soutien de la communauté des développeurs JBoss représente un atout important. « Ils améliorent constamment notre serveur et nous permettent de nous focaliser sur l'assistance aux utilisateurs » , conclut Marc Fleury.

Et voila, tout le monde y gagne, et on réussit à s'affranchir de ce pénible coté "vente de licences" et "marketing"...
JBoss Group est depuis le 5/06/2006 une filiale de Red Hat, un des grands du conseil autour de Linux...

Le produit

JBoss 4.0.4 a fait sa sortie le 24 Mai 2006, retour sur la courte histoire de ce produit qui a su se tailler une place de choix parmi les grand éditeurs de serveurs d'application J2EE.

La version 1, démarrée par Marc Flerury en Mars 1999 sort en Février 2000, à l'époque, il s'agit principalement de supporter les EJB, session (service) et entity (persistance).

La version 2, sortie en 2002, ajoute le support de :

  • JMX Java management extension :
    • administration des applications déployées dur le serveur d'app
    • statistiques serveurs sur les applications, les pools...
  • JMS : Java Messaging service, qui offre une gestion de files de messages (comparable à MQSeries d'IBM)

La version 3, sortie également en 2002, se voit certifié J2EE version 1.3 (EJB 2.0, Servlets 2.3, JCA, etc) par Sun, JBoss devient un concurrent vraiment sérieux pour IBM Wesphere AS, BEA WebLogic et leurs concurrents...

JBoss 4 sort en Octobre 2004, il est alors le premier à être CERTIFI2 J2EE 1.4, coup dur pour ses concurrents...
Il propose en particulier le support d'EJB 3 (Java 5 nécessaire...). JBoss 4 supporte Java 1.4, cependant l'ensemble des fonctionnalités ne sont pas disponibles avec cette version de Java.
Le rôle de conteneur de servlets, nécessaire pour les webapps, est assuré par Tomcat, quand à la CMP (container managed persistence), elle est assurée par Hibernate !
L'environnement de développement proposé par le JBoss Group (entreprise de conseil autour de JBoss) est Eclipse assoocié aux plugins JBoss.
JBoss fournit également un mécanisme nommé JBossCache, cache d'objets, transactionnel et distribué (sur un cluster par exemple).
On trouve également en standard un scheduler qui permet de lancer des tâches à des dates précises.
La gestion du farming est assurée : elle concerne le redéploiement automatisé des composants distribués sur l'ensemble du cluster (ferme de serveurs).

Coté portabilité, JBoss s'en tire plutôt bien, écrit entièrement en Java, il est portable sur tout systême possédant la version correcte de Java...Ainsi porter toutes les applications d'un serveur Windows vers un Linux se fera de manière transparente.

Allez, l'essayer, c'est l'adopter...

mercredi 12 juillet 2006

Amélie Nothomb

Biographie de la faim sur amazon.fr Biographie de la faim
Le dernier roman d'Amélie Nothomb parle de son enfance.
Fille de diplomate, elle raconte avec la poésie des enfants le Japon, New-York, le Bangladesh...
J'aime beaucoup son style "intello littéraire mais rebelle", j'ai donc vite lu ce petit bouquin...Allez...la suite...
Sur Wikipedia

Hygiène de l'assassin sur amazon Hygiène de l'assassin
Lu l'été dernier, ce petit chef d'oeuvre remonte à la surface de ma mémoire de temps à autre : quels personnages hors du commun, aux caractères exacerbés, quel style, prétentieux, exagéré, et noir !
L'histoire en quelques mots : Le romancier et prix nobel de littérature Prétextat Tach est atteint d'une maladie incurable qui lui laisse un mois à vivre. Il a une déclaration à faire. Les journalistes se pressent pour avoir l'insigne honneur d'interroger cet éminent personnage, mais il les malmène et les éconduit les uns après les autres, son histoire se mérite. Vient alors "une" journaliste, qui, malgré son jeune âge, va réussir à percer le mystère.
Sur Wikipedia
Amélie Nothomb sur wikipedia

jeudi 6 juillet 2006

Le petit sauvage

Le petit sauvage d'Alexandre Jardin sur Amazon lecture de l'été oblige, Le petit sauvage d'Alexandre Jardin m'a amusé mais sans plus. La fin est un peu décevante. Le narrateur, Alexandre Eiffel, homme d'affaires important, plaque tout pour redevenir l'enfant curieux et fantasque qu'il a été, "le petit sauvage". S'ensuit une histoire d'amour tumultueuse avec son amie d'enfance...
"L'île des gauchers" (amazon) et "Autobiographie d'un amour" (amazon) m'avaient beaucoup plu, "Le petit sauvage" m'a un peu déçu.

mercredi 5 juillet 2006

Nos jours heureux

Nos jours heureux sur allociné La colonie de vacances vécue par une bande de gamins marrants, encadrés par Omar Sy de Omar&Fred, Marilou Berry (fille de Josiane Balasko), Jean-Paul Rouve (Les Robin des Bois)...
La distribution est vraiment excellente, c'est léger, beaucoup de sujets sont abordés : la sortie de l'enfance, les premières amours, le racisme, la différence d'éducation/milieu, les amitiés, le début de l'âge adulte...
Tout ça donne furieusement envie de partir en vacances (pendant que les parents travaillent bien sur :-) )
Bref allez-y vous adorerez!

mardi 4 juillet 2006

En bref, mashups et @

Flickr retriver découvre les photos qui ressemblent à votre dessin ! Les mashups NOUS ENVAHISSENT ! Ces sites web d'un nouveau genre, moteurs du web 2.0, réorganisent, diffusent, digèrent l'information pour nous !
Cette "substantifique moëlle" est un "remachage" de bases d'informations comme :

  1. Google Earth :
  2. Coté Flickr, la fameuse base de photos ;-) on a des mashup comme :
    • "Flickr retrievr" qui permet de faire un petit dessin en ligne et de retrouver les photos qui ressemblent à ce dessin, cf la photo du dessus. On peut aussi passer une photo et il trouve les phots ressemblantes !
    • On a également des petits jeux comme fastR, qui propose une série de 4 photos ayant un "tag" commun qu'il faut trouver le plus vite possible !
    • Flickr Spell propose d'épeler ce que vous voulez en images, rigolo...et ça marche

La fabuleuse histoire du caractère "@"...

lundi 3 juillet 2006

Vivre à Zürich

David Mc Quillen et ses petites anecdotes sur la vie à Zürich...
En vrac la joie de posséder une voiture, les rêgles de vie dans les appartements...